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Un programme de 5 courts-métrages de la collection Les Contes populaires hongrois de Marcell Jankovics. Dans ce monde pastoral et merveilleux où la magie prend vie, un hérisson, pas comme les autres, cherche à épouser la fille qui puisse l’aimer (Le hérisson enchanté). Un jeune prince brave à la fois les dragons et un petit bonhomme pour récupérer le soleil, la lune et les étoiles qui ont été volés (Nicolas, le petit roi). Des colombes et un coq aident la belle Cendrillon à échapper à l’emprise de sa méchante belle-mère (Cendrillon). La noix magique qui sauve un pauvre homme et sa famille leur revient très cher (La petite noix) et trois jeunes hommes se font duper par les ruses d’un vieil homme (La pièce d’or et le chapeau), mais à la fin la chance leur sourit…
À partir de 4 ans
Les contes populaires hongrois ont été majestueusement mis en images par le maître de l’animation, Marcell Jankovics, nommé aux Oscars en 1974 pour Sisyphus et primé de la Palme d’or à Cannes en 1977 pour Struggle. Ces contes reflètent la richesse des légendes hongroises et de leur imaginaire. Dans ce monde où l’imagination de l’enfance défie les limites du possible, des miracles se produisent lorsque le fils cadet d’un roi tombe sous le charme d’une petite minette ("Miaou, la princesse") ou lorsqu’une fille se transforme en biche et essaie de sauver sa sœur ("Cerouska"). Nous découvrons aussi les aventures d’un petit garçon qui n’ose plus retourner à la maison après avoir perdu les vaches de son père ("Denis, la noix") ou celles d’un jeune prince astucieux qui se cache à l’intérieur d’un veau en or pour retrouver sa bien-aimée ("Le veau d’or"). Et encore, un pauvre loup qui se fait tellement duper par un mouton, un cochon et un cheval qu’il n’a plus du tout envie de rigoler ("Le loup qui rit")...
À partir de 4 ans
Un marquis breton révolté, un abbé aux dents longues, un régent qui joue des coudes… : signé Bertrand Tavernier, un tableau sans concession et plein d’humour de la succession du Roi-Soleil, avec le trio magistral Marielle-Rochefort-Noiret.
Pour protester contre la famine et la brutalité du pouvoir royal, le marquis de Pontcallec organise une conspiration contre le régent, Philippe d’Orléans, arrivé sur le trône dans des conditions douteuses à la mort de Louis XIV. Il tente de rassembler une armée avec l’aide de l’Espagne, afin de proclamer la République de Bretagne. Devant la menace espagnole, l’allié anglais exige de l’abbé Dubois, le plus proche conseiller du régent, qu’il rétablisse l’ordre. En échange, le prélat espère un soutien en faveur de sa nomination comme archevêque…
Libertinage et révolte
Grandiose fresque historique, "Que la fête commence" dépeint la période troublée du début du XVIIIe siècle, avec ses intrigues et ses luttes d’intérêts. Mêlant habilement situations grivoises et gravité des affaires d’État, Bertrand Tavernier ausculte avec un humour féroce la morale de l’époque, avec, en complices inspirés, le regretté Jean Rochefort, formidable en ecclésiastique débauché qui ne croit pas en Dieu, Philippe Noiret, magistral en souverain attachant et moderne, et Jean-Pierre Marielle, extravagant nobliau conspirateur. Leurs relations, oscillant au gré des alliances, créent un jeu de balancier qui imprime au film une dynamique réjouissante et tient en haleine jusqu’à la fin, inattendue.