Vacances de printemps : retrouvez les horaires d'ouverture et de fermeture de vos médiathèques.
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Une succession d'images fixes prises dans le monde entier, commentées par un photographe amateur et ses amis en voix off, telle est la conversation retracée ici par Chris Marker, inspirée d'un poème de Guillaume Apollinaire. De Tokyo à La Havane, en passant par Pékin, Moscou, Stockholm, Rome et Paris, la réflexion du cinéaste sur la photographie d'art s'accompagne d'un travail de pensée éthique sur les notions de travail, de société, de responsabilité et de socialisme...
Durant la seconde guerre mondiale. Un vieux couple de retraités vivant isolé dans les Alpes accueille Claude, un petit réfugié parisien. "Pépé" n'est antisémite que parce qu'il est trop sensible à la propagande de Vichy. Or, le petit garçon est juif, ce qu'ignore le vieux couple. Au delà des préjugés, une tendre amitié va se créer entre le petit garçon et le vieil homme.
Un journaliste new-yorkais reçoit chaque jour de façon inexplicable le journal du lendemain. Il profite de la situation et coiffe sur le poteau des scoops tous ses confrères. Mais un jour, il découvre son nom dans la rubrique nécrologique...
Alors qu'il se dirigeait vers le village de Huston, un jeune Mexicain, Pécos Martinez, découvre que Break, propriétaire de 80 000 dollars, dissimule l'argent dans un tonneau, transporté dans un saloon. Peu de temps après, Break est tué par Joe Kline et sa bande, prêts à tout pour récupérer le butin. Les bandits se lancent ensuite à la poursuite de Pécos, le seul à savoir où les 80 000 dollars sont cachés. Ils le retrouvent vite et lui font avouer sous la torture l'emplacement du tonneau. Laissé pour mort, Pécos tente de rejoindre le saloon avant les hommes de Kline...
Pendant la Seconde Guerre mondiale, la direction d'une industrie de guerre d'instruments optiques pour armes demande un effort aux ouvriers pour augmenter la productivité pendant quatre mois. L'objectif pour les travailleurs masculins est une augmentation de 100% de la production, mais les travailleuses, dirigées par la dévouée Tsuru Watanabe, demandent à la direction de dépasser leur objectif de 50% à 70%. Pendant cette période, les femmes doivent surmonter la maladie et leurs problèmes personnels pour compléter leur quota...