Vacances de printemps : retrouvez les horaires d'ouverture et de fermeture de vos médiathèques.
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Jean le Vaillant, le berger, est amoureux de la très belle orpheline, Iluska. Durant leur étreinte dans sa cabane de roseaux, le troupeau se disperse et disparaît. Jean le Vaillant doit se cacher et partir à l'étranger pour fuir la colère du propriétaire. Il devient soldat, il combat sur les terres Tartares, en Pologne et en France où il se distingue dans les batailles contre les turcs. Riche et couvert de gloire, il rentre en Hongrie pour retrouver son amour. "Jean le vaillant" fut le tout premier long métrage d’animation réalisé en Hongrie. Il s’agit d’une commande officielle, destinée à commémorer le 150ème anniversaire de Sandor Petofi, poète national.
Mohammad, un adolescent de quatorze ans, est employé à tout faire dans une boutique de photographe où il est autorisé à dormir. Il est amoureux à distance d'une jeune fille de la bourgeoisie qui habite à l'autre bout de Téhéran.
Sur la planète Ygam vivent es Draags, des géants humanoïdes bleus. Ayant atteint les plus hauts sommets de la connaissance ils mènent une existence de loisirs et de méditation. Ils possèdent de minuscules animaux familiers, les Oms. Tout commence lorsque Tiwa, fille du grand Edile, adopte un bébé Om qu'elle baptise Terr...
Résonances
Librement inspiré du roman de SF de Stefan Wul "Oms en série", La planète sauvage figure parmi les premiers films d'animation pour adultes. Cette fable rêveuse, qui évoque un futur dans lequel le progrès technologique donnerait naissance à une communauté sophistiquée, mais dépourvue d'empathie pour les autres espèces, a marqué des générations de spectateurs. Utilisant la technique du papier découpé, René Laloux et Roland Topor créent un univers surréaliste d'une remarquable puissance, aux couleurs froides, au graphisme épuré, qui trouve dans notre présent de singulières résonances.
Dès 8 ans
Compte-rendu à chaud des journées qui ont suivi le coup d’état du général Pinochet. A Santiago la peur se lit sur les visages. Des militants de l’Unité Populaire osent cependant parler, ébauchent des explications, font part au monde de leur détermination. Les obsèques de Pablo Neruda donnent lieu à la première manifestation contre le régime.
Cinq ans après mai 68, les ouvriers de Lip se lancent dans une folle entreprise d’autogestion qui a un retentissement immédiat. Mais la guerre entre les syndicats risque de paralyser le travail de Roger Louis dont la coopérative Scopecolor a amassé une documentation considérable. Pour détourner les coups, il demande à Chris Marker de prendre la responsabilité du montage.
Un chef-d’oeuvre du cinéma burlesque avec l’immense Buster Keaton aux commandes.
Géorgie, 1861. Johnnie nourrit un amour sans borne pour la sublime Annabelle et pour sa locomotive, la General. Arrive la guerre de Sécession. Jugé plus utile en tant que mécanicien, Johnnie ne combat pas les nordistes. Annabelle et sa famille le croient lâche et le rejettent. Un an plus tard, l'armée adverse pénètre en territoire sudiste et subtilise un train, avec Annabelle à son bord et la General à sa tête. Toutes affaires cessantes, Johnnie s'en va-t-en guerre...
Fort justement considéré comme le chef-d'oeuvre de Buster Keaton, Le mécano de la Générale repose sur des faits authentiques. En avril 1862, un groupe d'espions de l'Union s'est effectivement emparé d'une locomotive à la gare de Big Shanty. Pour son film, Keaton fit construire plusieurs machines rigoureusement semblables, équipées de chaudières à bois, qu'il lança à travers les plaines de l'Oregon. Rares sont les plans filmés en studio. Les plus incroyables acrobaties ferroviaires ont été accomplies sans trucages, avec Keaton seul aux commandes. Chaque séquence est un régal pour les yeux, comme celle, célèbrissime, où Johnnie Gray se repose sur les essieux de sa locomotive, tandis qu'elle démarre lentement.
L’objectif de ce film, commandé à Vertov par l’administration de Moscou en vue des élections, était de montrer le travail du Mossoviet pour reconstruire la capitale : transports, établissements culturels, etc. Mais Vertov décide d’élargir le thème et de montrer comment le peuple russe, avec le parti communiste à sa tête, reconstruit l’économie et la culture du pays et de sa capitale. Il utilise pour cela des images d’archives. L’idée dominante du film est de comparer le présent du pays avec son passé et de montrer la lutte entre le nouveau régime et l’ancien.