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AU TEMPS DES MOISSONS
De Janis Cimermanis, d’après le poème de Fricis Dziesma.
C’est l’effervescence à la ferme ! Pendant les moissons, paysans et citadins s’entraident pour récolter les céréales, aidés par la fameuse batteuse à vapeur. Au même moment, sous terre, les souris s’activent elles-aussi.
LES ESPIÈGLES
De Janis Cimermanis.
Pour un petit garçon, vivre à la ferme est souvent synonyme de bêtises en tous genres. Ce n’est pas le petit Peter qui va déroger à la règle, lui qui ne manque aucune occasion de faire une farce. Son entourage - humains comme animaux - va en faire les frais.
LE GARDE FORESTIER
de Maris Brinkmanis.
Quand un garde forestier ne peut plus rien faire contre les pollueurs, ce sont les animaux de la forêt qui prennent la relève. Face à tant d’ingéniosité, certains vont regretter de ne pas avoir respecté la nature.
LES HÉRISSONS EN VILLE
De Evalds Lacis.
Les animaux viennent de perdre leur maison. La forêt qui les protégeait a été rasée par les hommes pour laisser place à une ville. Avec l’aide de leurs compagnons à quatre pattes, un couple de hérissons va piéger les humains à leur propre jeu.
Dès 3 ans
Phileine est une jeune néerlandaise malheureuse en amour. Sur un coup de tête, elle décide de suivre à New-York son ami Max qui veut tenter sa chance comme acteur. Mais les pièces où apparaît Max jouent sans costume - aucun - et Phileine se découvre une jalousie tenace pour ses partenaires.
Un jour d'hiver, Jacob et sa soeur Marie sont abandonnés par leur père au chômage, dans la forêt. Dans son manteau, Jacob trouve une lettre de sa mère les encourageant à aller rendre visite à leur oncle en Espagne... Une adaptation très libre et moderne des contes des frères Grimm par le réalisateur de La peau de Bax.
De mai à juillet 2003, le réalisateur et son équipe ont pu poser leurs caméras au sein de la 10e chambre correctionnelle de Paris pour en filmer le déroulement des audiences. Douze affaires ont particulièrement retenu son attention. Ce film a été présenté au Festival de Cannes en 2004, en sélection officielle hors-compétition.
À ses débuts, c'est une fille malingre, mal balancée, qui n'a rien pour susciter le désir. Ce n'est ni Ava Gardner ni Rita Hayworth. Pourtant, tous sont foudroyés par ce qui se loge dans ce petit corps frêle : l'essence même de l'amour. Même si l'on n'aime pas la chanson, on sait qui est Piaf, de même que l'on connaît la Callas ou Picasso même si on ne s'intéresse pas à l'opéra ou à la peinture. Personne n'a incarné la chanson populaire comme Piaf. Il faut regarder attentivement les visages des spectateurs qui l'écoutent : ils sont bouleversés. Dans chaque chanson, ils entendent l'histoire de leur propre vie, des amours et des peines qu'ils ont eues ou qu'ils n'ont pas su vivre. Enchanteresse de l'âme plus que du corps, Piaf hurle l'amour. Son blues très personnel, sa grâce violente et sa voix déchirée rejoignent les expressions les plus universelles de la passion amoureuse. Portrait de cette immense interprète à travers des images d'archives et de nombreux extraits de chansons.
A la suite du décès de sa mère et au lendemain d'une déception amoureuse, Marianne découvre le testament de son père. Elle y apprend l'existence d'une femme passionnément aimée, et qui vit toujours... D'après un roman d'Anne Wiazemsky ("Hymnes à l'amour"), une ronde où dansent souvenirs oubliés et secrets de famille. Prix Jean Vigo 2003.
Rites mystérieux dans un pensionnat de filles, isolé dans une épaisse forêt, à l'abri du monde. Une allégorie envoutante, premier long métrage de l'auteur de "La Bouche de Jean-Pierre" qui laisse ici émaner de la douceur ouatée de ses séquences un malaise vénéneux.
Fanny a 30 ans, elle est célibataire et ça commence à lui peser ! Heureusement elle a invité ce soir un collègue à dîner chez elle et elle compte bien en profiter. Elle veut une aventure d'un soir et il fera l'affaire. A l'heure prévue, tout est prêt : musique douce, lumières tamisées, dessous affriolants... Le pauvre ne sait pas où il met les pieds; il n'a aucune chance de lui échapper.