Ce qui émerveille et surprend dans le conte des contesc'est plus qu'une impression de déja vu, comme on dit de certains rêves, c'est une sensation de toujours-vu. Il a réussi à mettere en image ces leitmotive du souvenir (l'enfance, les repas, la campagne, la guerre, les bals populaires)
Alors que les Etats-Unis s'embourbent dans le conflit vietnamien, les services secrets confient au lieutenant Willard la mission de traquer et de tuer le Colonel Kurtz. Ce dernier, devenu un pyschopathe dangereux et sanguinaire, vit à la frontière Cambodgienne, entouré d'une tribu de renégats qui le vénère comme un dieu. Dans sa quête, Willard va être confronté aux horreurs de la guerre et à la cruauté de l'homme. Un Voyage qui va le conduire au bout de lui-même et de la folie
Qu'on parle ici de chef d'oeuvre ne fait évidemment aucun doute mais là où les Clash brillent réellement tout au long de ce troisième album, c'est dans leur capacité à passer en revue toute la mythologie du rock'n'roll avec grandeur, richesse et éclectisme. Loin de n'être qu'un coup de gueule punk post-ado, l'art du gang de Joe Strummer fusionne un engagement militant et social jamais bas du front à un traitement subtil de tous leurs styles de prédilection, qu'il s'agisse de reggae (Guns Of Brixton, Rudie Can't Fail), de rockabilly (Brand New Cadillac), de soul (The Right Profile), de ska (Wrong'Em Boyo), de funk (Train In Vain) voire même de jazz (Jimmy Jazz). Même la pochette de ce London Calling qui revisite celle du tout premier disque d'Elvis Presley est un chef d'oeuvre.
L'histoire d'amour entre Landry, fils de paysans berrichons et frère jumeau de Sylvian, et une fille de "sorcière", Fadette, qui se révèlera une femme douée de grandes qualités de coeur et d'esprit