Portail des médiathèques du réseau Paris-Saclay

Les aventures de Monsieur Lapin qui ne peut arriver à ses fins que s'il se fait aider par un plus petit que lui, Petit Lapin…

Un programme de trois courts métrages d'animation pour découvrir le monde de la mer. "Le petit bateau en papier rouge" (The Little Red Paper Ship, réal. Aleksandra Zareba, Allemagne, 13') : un petit bateau en papier rêve d'explorer le monde. Il part donc à l'aventure sur toutes les mers de la Terre. "Enco, une traversée à vapeur" (Enco, traversias a vapor, réal. Ignacio Ruiz et Gabriela Salguero, Chili, 17') : sur une plage déserte, un petit garçon s'embarque à bord d'une mystérieuse épave. Commence alors son voyage où s'entremêlent rêve et réalité. "Le bonhomme de sable" (Sand Guy, PŠrtel Tall, Estonie, 15') : qu'arrive-t-il lorsque nous quittons la plage le soir ? De drôles de créatures de sable prennent alors vie. "C'est toute une aventure, ou plutôt trois aventures que ce beau programme de courts métrages nous raconte. (...)"

Cette série d'animation raconte, en histoires muettes, les aventures de Monsieur Lapin, qui ne peut arriver à ses fins que s'il se fait aider par un plus petit que lui, Petit Lapin... 12 épisodes. Saluer le parcours de cette série animée culottée, (…) est complètement justifié. (…) Une carrière internationale dès la première saison ? Le concept y est pour quelque chose. Le message de la série, qui met en scène un grand lapin qui veut mener des projets et un petit lapin qui veut l’aider coûte que coûte, est universel. Le message – la confiance en soi et la construction de soi – touche toutes les populations sans distinction culturelle. Et le format, muet, rend la prise en main de la série quasi immédiate. (…) Une très belle carrière pour une production modeste. (…)”.

Succès public et critique à sa sortie en salles, "Ferda la fourmi" est une sélection des meilleurs films d’Hermína Týrlová, première femme réalisatrice de l’animation tchèque : "Ferda aide ses amis" (1977, 10'), "Un sacré garnement" (1973, 8'), "Les farces du diablotin" (1980, 6'), "Les féeries du corail" (1968, 10'), "Conte de la corde à linge" (1986, 8'). "Hermina Tyrlova fait évoluer ses personnages avec une grâce fragile et beaucoup d'humour dans de virevoltantes petites symphonies de couleurs, de mouvements et de musique." "Ces cinq courts métrages d'animation tchèques, en musique et sans paroles, ont la poésie des jouets d'antan." "(...) l'artiste qui aime créer des univers d'une beauté artisanale pure, (...) parvient dans chacun de ces 5 courts à soutirer notre admiration nostalgique d'une féerie simple et touchante, loin des dogmes capitalistes qui ont troqué la simplicité du message pour de vilaines formules."

Un musicien sans domicile fixe est chassé de la ville après que la reine ait vu son visage. Bien que les gardes détruisent son instrument, il ne renonce pas à le réparer et à jouer de la musique.

Charlot recueille malgré lui un bébé abandonné. Quelques années plus tard, le petit garçon et le vagabond font équipe pour gagner leur vie. Mais le jour où l'enfant tombe malalde, les services sociaux tentent de les séparer.

Cinq histoires ! Cinq techniques d'animation différentes ! Compter sur l'autre quelle que soit la situation, quels que soient les événements ! "Ghirafa" (2014, 7'45") réalisé par Anastasia Sokolova, Russie. Dans un zoo, un petit âne fatigué de porter les enfants, tombe sous le charme de la girafe. "La petite fille et le renard" (2011, 5'31") réalisé par Tyler J. Kupferer, Etats-Unis. L'hiver est froid et la nourriture se fait rare. Afin d'assurer la survie de sa famille, une fillette traque un renard qui s'attaque à leur bétail. "Eskimal" (2011, 8'50") réalisé par Homero Ramirez Tena, Mexique. Eskimal et Morsa, inséparables, sont chargés de protéger le grand glacier. "Black or white" (2017, 11'26") réalisé par Mohammad-Ali Soleymanzadeh, Iran. Dans le monde sans couleur d'un petit zèbre, un papillon multicolore fait une apparition soudaine. "Polychrome" (2017, 2'14") écrit, réalisé et produit par Negareh Halimi et Amin Malekian, Iran. "Polychrome" est un court métrage musical réalisé en stop motion ! “Programme de cinq courts métrages d’animation, venus de Russie, d’Iran et des États-Unis, autour de la question de la solidarité. Sans dialogues, il délivre des messages variés, illustrés par des instants de poésie et de douceur.”

Trois courts métrages d'animation inédits des Studios d'art de Shanghai. "Le petit canard Yaya" (1980, 11', sans dialogue). Dix oeufs éclosent à l'insu de la maman canard. Les dix petits canards, y compris un, différent des autres, explorent la mare. Elle semble bien paisible, mais le méchant renard rôde. Ensemble, et bien courageux, ils luttent contre le danger. ; "Les petits canards intelligents" (1960, 8', sans dialogue). Trois petits canards malicieux partent à la chasse aux papillons. En chemin ils réveillent le gros chat ! Très malins, ils réussissent à faire fuir ce dernier et repartent, tout contents. ; "Un gros chou"(1961, 17', VF). Le chat et le lapin aiment bien jouer près du potager, mais parfois ils font des bêtises ! Un gros chou connaît un mauvais sort, mais comment savoir qui est le véritable coupable ? "Ces courts métrages séduisent par le travail sur les volumes, les couleurs vives et les histoires simples qui les rendent accessibles aux plus petits. Les grands apprécieront la beauté de l'artisanat." "Programme de trois courts métrages d'animation chinoise, Les Petits canards de papier constitue un appréciable voyage dans un autre temps et une autre culture."

Ce film Fétiche 33-12 est la version originale conçue par Ladislas et Irène Starewitch avant de subir les coupes des distributeurs. En 1933, Ladislas et Irène Starewitch ont produit et réalisé un film d'environ 1 000 mètres intitulé dans un premier temps lors des travaux de laboratoire L.S. 18. Sous la pression des distributeurs, la longueur en a été grandement réduite, ce film est devenu Fétiche Mascotte, environ 600 mètres, distribué à partir de 1934, premier épisode d'une série. En 1954, Ladislas Starewitch a conçu Gueule de bois en utilisant des images de L.S. 18 non retenues dans Fétiche Mascotte. Tout récemment nous avons entrepris la reconstitution du film original en partant de plusieurs copies de Fétiche Mascotte distribuées au Royaume-Uni et aux Etats-Unis d'Amérique, du négatif de Gueule de bois et des chutes conservées dans les archives de Ladislas et Irène Starewitch. En 2012, L.S. 18 a retrouvé sa longueur et son montage de 1933 d'où le titre de Fétiche 33-12.

Dès deux ans. Un programme de cinq fables poétiques aux dessins sublimes et rempli de douceur, de poésie et surtout... plein de philosophie pour les plus petits ! A travers des dessins naïfs et des techniques d'animation simples, les cinq films mettent en scène des personnages qui désirent découvrir le monde en dépit des dangers. "Dans des décors composés avec soin avec des matériaux simples (papiers, pastels, tissus), la technique du papier découpé transforme ces films en autant d'herbiers, collections de formes et de couleurs qui évoquent la nature." "Cinq fables poétiques aux dessins sublimes, qui émerveilleront les petits et feront sourire les grands."

Mr. Carton est un automobiliste étourdi, au coup de volant hésitant. Il prend la route pour aller voir la mer. Mais ce long périple, entre cols escarpés, villes tentaculaires et circulation aliénée, l'expose à de nombreux dangers... Dans ce road-movie burlesque, non dialogué, la destination importe moins que les embûches qui jonchent le trajet. Mr. Carton va être mis à l'épreuve de l'inconnu, et révéler sa personnalité. La candeur et la douce folie de Mr. Carton, son inconscience aussi parfois, rattachent le spectateur à sa cause, aussi futile soit-elle !

Les premiers pas d'un renardeau, d'un poulain, d'un ourson et d'un petit éléphant au cœur de la forêt. De courtes histoires sur ces êtres sensibles et innocents qui explorent le monde naturel qui les entoure. Un programme rempli de couleurs et de douceurs pour un premier pas au cinéma tout en évoquant la joie de l'instant présent, l'émerveillement, la curiosité et l'amitié. ; "Ahco, le petit éléphant intrépide" de Soyeon Kim (Corée du sud, 8 min 27 s) : Un petit éléphant s'égare et se lance à la découverte de la forêt. Tout au long de son périple, la forêt se révèle à lui : sa beauté, ses plantes, ses habitants souvent pour le meilleur mais pas toujours... Heureusement, sa mère veille et le retrouve ! ; "Petites histoires de la forêt" de Veronika Fedorova (Russie, 8 x 3 min 30 s) : contes sans dialogue accompagnés de musique classique. Les héros sont des bébés animaux qui explorent le monde naturel qui les entoure. Chaque récit est axé sur l'une de leurs découvertes. Nous voyons le monde à travers leurs yeux, chaque nouvelle expérience étant à la fois divertissante, éducative et touchante. ("La maman ours et son petit", "Voler ou tomber ?", "La bête effrayante", "Le vent", "La lune", "La course d'escargot", "La pluie", "Le flair"). "Marre des images 3D un peu lisses générées par ordinateur ? Premiers Pas dans la forêt mise sur la douceur de l'animation traditionnelle (dessin sur papier). Et, en prime, les histoires sont accompagnées d'une élégante bande-son classique (Mozart, Bach)."

Vingt-neuf films restaurés pour découvrir les différentes facettes de l'oeuvre magistrale de Georges Méliès...

Deux films d'animation des Studios d'art de Shanghai : "La Flûte du bouvier" de Te Wei et Qian Jiajun (1963, 20') : Un enfant joue de la flûte. Il s'endort et rêve que son buffle s'est échappé. Lorsqu'il le retrouve, sa joie est si grande qu'il se réveille. Il reprend alors sa flûte et le morceau de musique interrompu... & "Le Grelot du faon" de Tang Cheng et Wu Qiang (1982, 22') : Un jeune faon est recueilli par une petite fille. Ils partagent leurs vies et leurs jeux jusqu'au jour où, ayant grandi, le faon doit tout quitter pour retrouner à la vie sauvage...

A travers l'histoire d'un naufragé sur une île déserte tropicale peuplée de tortues, de crabes et d'oiseaux, "La tortue rouge" raconte les grandes étapes de la vie d'un être humain... A la fois conte philosophique et récit d'aventure, un film d'animation féérique et éblouissant "Ce somptueux film d'animation (prix spécial à Cannes, dans la section Un certain regard) est bien plus qu'un récit écolo comme les autres. Il s'enivre de la beauté des éléments, du vivant comme du minéral, avec la force des grands récits mythologiques." "Un beau conte, fruit de la collaboration inédite entre l'animation européenne et les studios Ghibli. Tout est simplicité et beauté, humanité et universalité dans ce récit." "Entre le minimalisme narratif du Batave et l'animisme débridé du studio Ghibli, la photosynthèse a opéré. Sans qu'y soit prononcé le moindre mot, cette robinsonnade se déploie miraculeusement en un récit palpitant, qui vous cloue à votre siège du début à la fin."

Dans "Petites Canines", les chiens ne font pas des chats, partent à la chasse, se mordent la queue, veulent désespérément sortir de la maison, ou y entrer coûte que coûte. Un va-et-vient trépidant, coloré, imaginatif, et à quatre pattes. "Un plan d'enfer" de Alain Gagnol et Jean-Paul Felicioli, France (2015, 5'50). "La chasse" de Alexei Alekseev, France (2016, 5'36). "Doggone Tired" de Tex Avery, Etats-Unis (1949, 8'). "My Happy End" de Milen Vitanov, Allemagne (2007, 5'). "Cooped" de Mike A. Smith, Etats-Unis (2014, 9'). "One Man Dog" de Paul Terry, Etats-Unis (1927, 5'30). "Mr Hublot" de Laurent Witz et Alexandre Espigares, France/Luxembourg (2013, 11'48).

Un jeune cochon et son père vivent au sommet d'une colline menacée par un gros nuage noir. Avant de partir combattre les brumes, le père construit un moulin à vent pour repousser le nuage et protéger la colline et ses habitants. Resté seul sans son père, le jeune cochon trouve du réconfort et aussi une famille d'adoption avec son ami le Renard. Ensemble, ils font toutes sortes de découvertes surprenantes...

Des techniques originales (animation de dentelles ou de tissus) aux animations traditionnelles (dessins au crayon, peintures, papiers découpés), un programme qui réunit sept courts métrages. - "L'hiver est arrivé" (Russie) de Vassiliy Shlychkov : une élégante renarde vole à l'automne ses couleurs : l'hiver est arrivé. Les animaux s'endorment ou s'emmitouflent et une petite fille se blottit dans ses couvertures. -"Toutes les étoiles" (Etats-Unis) de Yawen Zheng : un garçon qui vit dans un magnifique monde récolte dans les flaques des étoiles qu'un rêne distribue aux enfants des villes le soir, avant qu'ils ne s'endorment. -"Le temps des enfants" (Russie) de Nina Bisyrina : alors que la nuit et la neige tombent, de drôles d'animaux rendent visite à un petit garçon et son grand-père. Le petit garçon a une amie, c'est une petite jument. Elle vit chez lui, elle tient parfaitement dans ses bras, il l'aide à se laver, et il lui donne à manger. - "Une petite étoile" (Russie) de Svetlana Andrianova : c'est la veille de Noël. Une famille d'étoiles joue dans le ciel, elles se lancent dans une partie de cache-cache, font du trampoline sur les nuages. Mais l'une des petites étoiles dégringole de son nuage ! Comment remonter ? Qui pourra l'aider à rejoindre ses frères et soeurs ?. -"Les moineaux sont des bébés pigeons" (Russie) de Nina Bisyrina : c'est une triste journée d'hiver, il fait très froid. Mais en observant bien, un petit garçon aperçoit la beauté de l'hiver. Alors des couleurs et des animaux fantastiques apparaissent . -"Lapins des neiges" (Russie) de Yelizaveta et Polina Manokhina : une maman lapin part à la recherche d'un arbre de Noël à décorer en compagnie de ses trois petits, mais en chemin ils devront braver bien des dangers ! Cette nuit de Noël leur réserve des surprises !. - "La petite moufle rouge" (Corée du sud) de Lee Jong-Hyeuk, Bae Byeong-Jun, Lee Mee Sun, Kim Bora, Kim Hee Yeong : dans la neige, une petite fille assemble patiemment son bonhomme de neige. Une de ses moufles disparaît. Elle se lance à sa recherche. Aurait-elle été volée ?