Kenza, 11 ans, vit sur l'île de Curaçao avec son père et son grand-père, deux hommes que tout oppose. Entre modernité et respect des traditions spirituelles ancestrales, la jeune fille tente de faire le deuil de sa mère qu'elle n'a jamais connue et de trouver son propre chemin.
“Dans ce film singulier, peu bavard, les émotions s’expriment à travers les éléments. L’espace alentour vibre, la nature se déchaîne, la maison, littéralement animée par le souffle du vent, possède sa force propre... D’où une chronique d’émancipation sensible, un récit sensoriel, qui rend hommage aux coutumes afro-caribéennes et au pouvoir de l’invisible.”