Dans " La Séparation ", le héros et narrateur Yoichi Yamashita continue, comme dans " Le Grand Incendie ", d'évoquer son enfance et sa prime jeunesse. Yoichi se rappelle les circonstances qui ont amené ses parents à la séparation, puis au divorce. Yoichi en éprouvera une immense douleur et restera blessé, solitaire et habité d'un profond sentiment de rejet. Ces souvenirs, qui continuent d'affluer au fil des heures passées à veiller le défunt, seront l'occasion pour les uns et les autres de mieux comprendre et de pardonner les erreurs commises.
Dans ce dernier volume du Journal de mon père, Yoichi Yamashita évoque la mort de son père, le deuil familial et la fin de sa jeunesse. Un récit situé dans le contexte du Japon traditionnel des années 50 et 60 et dont Taniguchi révèle dans la postface le caractère autobiographique.
Sous l'Occupation, des enfants juifs sont cachés dans un château des Ardennes belges. 1980, l'ancienne lavandière du château recouvre peu à peu sa mémoire perdue. Parallèlement, à New York, un coup de téléphone va bouleverser la vie d'un homme.
Lorsque Julie emmènage avec son "chum" André dans un nouvel appartement à Montréal, elle découvre assez vite que la concierge des lieux tient plus de la mythomane excentrique que du chien de garde acariâtre. La complicité qui s'installe entre elles va rapidement devenir embarrassante.
Pas-de-Calais, dans les années soixante-dix. La vie d'un petit garçon rêveur, âgé de huit ans, dont les faits et gestes semblent influencés par la télévision, cette boîte à 1 franc qu'il faut alimenter en pièces pour que sa lucarne magique délivre les programmes tant convoités.