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La bande originale de la série écrite et réalisée par Cathy Verney (Une Création Originale Canal +), inspirée des romans de Virginie Despentes'Vernon Subutex'- Tomes 1 et 2, publiés en France aux éditions Grasset. Une B.O. aussi incandescente que climatique qui s'impose comme une référence du genre. Véritable condensé de contre-culture, elle propose des pépites Punk, Rock, Indé et Electro.

L'histoire de la musique de film depuis la fin du XIXe siècle jusqu'à nos jours, assortie d'un CD pour découvrir des morceaux d'anthologie (titres originaux et remastérisés), d'Hitchcock à Sergio Leone.

La collection Ecoutez le cinéma ! consacre une anthologie exceptionnelle à la légende vivante de la musique de film. Pour célébrer ses 85 ans, Ennio Morricone se lance dans une tournée mondiale (Etats-Unis, Russie, Allemagne, Turquie). Il se produira à Paris le 4 février prochain, à Bercy, pour un concert unique à la tête d'un orchestre symphonique doublé d'un choeur. Le concept ? Réunir des standards objectifs avec des partitions plus rares, sinon inédites sur un double CD. D'un côté des chefs d'oeuvres incontournables pour Sergio Leone (Le Bon, la brute et le truand, la trilogie des Il était une fois), Giuliano Montaldo (Sacco & Vanzetti), Henri Verneuil (Le Clan des Siciliens, Peur sur la ville), Georges Lautner (Le Professionnel), Roland Joffe (Mission), Brian de Palma (Les Incorruptibles), Giuseppe Tornatore (Cinéma Paradiso)... De l'autre, des bandes très originales pour des productions du samedi soir, westerns spaghetti, giallos ou films érotiques. Avec, au détour du chemin, plusieurs musiques inédites en CD (La Clé) voire jamais publiées (Les Démons de San Pietroburgo, Como un delfino). Sans compter des chansons interprétées par Joan Baez, Sting, Gérard Depardieu, Zucchero ou Dulce Pontes.

Lucasfilm et le réalisateur visionnaire J.J. Abrams font équipe pour vous emmener dans une galaxie lointaine, très lointaine : Star Wars est de retour sur grand écran avec Star Wars épisode 7, Le Réveil de la Force, La bande originale sera produite par le légendaire, 5 fois lauréat de l'Academy Award : John Williams.

L'adaptation unique en film d'animation, réalisée par Mark Osborne (Kung Fu Panda, Bob l'Eponge...), d'une oeuvre littéraire française majeure. Egalement le plus gros "voice cast" jamais réuni en France (Marion Cotillard, Guillaume Canet, Florence Foresti, André Dussolier, Vincent Cassel, Vincent Lindon... La BO composé par Hans Zimmer et Richard Harvey inclut également 3 nouvelles chansons de Camille, spécialement composées pour le film et présentes de manière récurrente dans le film.)

Le cinéma du réalisateur italien Paolo Sorrentino marque les esprits depuis le début du siècle. Dès son deuxième film, Les conséquences de l'amour, il est sélectionné en compétition officielle au Festival de Cannes. Depuis, ses films This must be the place (avec Sean Penn), La grande bellezza (Oscar du meilleur film étranger en 2014) ou encore Youth (à nouveau en compétition au Festival de Cannes) ont fait l'unanimité. Paolo Sorrentino est également le créateur de la singulière série télévisée The young pope, diffusée mondialement.|Il est évident que son cinéma doit beaucoup à la musique qu'on y entend (les scènes de fête ou de concert sont dans tous ses films). Cet album rend hommage à cette musique, entre pop, rock, électro, musique classique ou contemporaine. Il fait alors la part belle aux titres de Air, Cassius, Beth Orton, David Byrne, Bob Sinclar, ou encore Mark Kozelek (Sun Kil Moon).

En 2000, Universal Music France crée la collection discographique Ecoutez le cinéma !, sorte de mémoire musicale du grand écran, conçue depuis l'origine par Stéphane Lerouge. Son ambition : faire revivre les Graals de la musique de film, les partitions emblématiques (et introuvables) de Georges Delerue, François de Roubaix, Michel Magne, Maurice Jarre ou Michel Legrand. 150 volumes plus tard, la collection a aimanté de grandes figures internationales (Ennio Morricone, Lalo Schifrin, Quincy Jones, Howard Shore), s'est déclinée en coffrets et vinyles... a provoqué des ré-enregistrements et remixes en pagaille. Pour célébrer cet anniversaire, Ecoutez le cinéma ! propose un livre-disque au concept inédit. Pour la première fois, il s'agit de partir de l'écrit. C'est-à-dire d'une sélection subjective de trente-six interviews, parmi la centaine réalisée au gré de la collection. Des compositeurs parlent de cinéma, des cinéastes de musique. A chaque témoignage correspond un ou deux morceaux, répartis chronologiquement sur deux CD. De page en page, ce sont des vis-à-vis insolites qui se nouent : Bertrand Tavernier répond à John Barry, Agnès Varda tend la main à Ennio Morricone, Bertrand Blier sourit à Quincy Jones. Entre la première et la dernière interview, c'est peut-être une histoire, ou à défaut une petite histoire, de la musique à l'image qui se dessine. Ecoutez le cinéma, lisez-le désormais.

Le nouveau film fantastique La Forme de l'Eau - The Shape of Water de Guillermo Del Toro, avec notamment Sally Hawkins, Michael Shannon et Richard Jenkins, est à découvrir au cinéma le 21 février 2018 La musique est signée par le compositeur français aux multiples récompenses Alexandre Desplat, et est déjà nommée aux Oscars, Golden Globes et Critics Choice. Desplat s'est fait connaître notamment pour ses compositions pour "Le discours d'un roi" (BAFTA Awards), "De rouille et d'os" (César), "Le Grand Budapest Hotel" (Oscar et BAFTA) ou encore "Le prophète".

Après le succès de son album Twelve Nudes l'an dernier, Ezra Furman revient avec Sex Education OST, bande originale de la première et deuxième saison de la série à succès Netflix. Les créateurs de la série ont dit à Ezra Furman " nous vous voulons que tu sois pour nous ce que'Simon & Garfunkel'a été pour'The Graduate'". Et ils ont vu juste, qui de mieux que Furman pour articuler tous ces sentiments de gêne et d'aliénation ? La bande originale de Sex Education rassemble les chansons originales que Furman a composées pour les deux premières saisons. Elle inclut également des titres présents dans la série mais tirés de ses précédents albums Perpetual Motion People et Transangelic Exodus. On y retrouve aussi des reprises de'I Can Change'de LCD Soundsystem, de'The Good Book'de Melanie ainsi que sa version du chef d'oeuvre doo-wop'Devil Or Angel'des Clovers.

Désormais véritables complices, le réalisateur Wes Anderson et le compositeur Alexandre Desplat montent d'un cran le niveau de leur collaboration avec cette partition jouissive de''The Grand Budapest hotel''. Après avoir travaillé en 2009 sur la musique de''Fantastic Mr. Fox''et, trois ans plus tard, sur celle de''Moonrise Kingdom'', le Français a composé ici des thèmes et des motifs judicieux collant à la perfection à l'ambiance'vieille Europe'de la nouvelle fresque d'Anderson. Une énième preuve que Desplat s'impose comme l'un des plus brillants compositeurs de musique de films de sa génération.

Hildur Gudnadottir a composé les 17 titres de la bof de "Joker", le film aux 3 millions d’entrées dont le rôle principal est interprêté par Joaquin Phoenix.

La série à succès de Steven Knight "Peaky Blinders", portée par Cillian Murphy, Sam Neill, Helen McCrory ou encore Annabelle Wallis dévoile enfin sa bande originale. Affichant une sélection musicale ultra pointue, la série événement fait la part belle aux grands noms du rock indé : PJ Harvey, Dan Auerbach, Arctic Monkey et bien sûr Nick Cave & the Bad Seeds participent de l'atmosphère si particulière, propre à la série.

Après "Geronimo", qui traduisait admirablement les tensions entre cultures traditionnelles et identités urbaines, Tony Gatlif revient en 2017 avec "Djam", une bande originale magistrale dédiée au rébétiko. Toute l'humanité de cette musique populaire grecque, issue de l'exil, des migrations, du métissage, réside dans le fait qu'elle soit originaire de cette région reliant Europe et Asie, carrefour des civilisations et des crises (économiques et migratoires), et pour ainsi dire centre du monde. Tony Gatlif est le cinéaste du rythme et de la liberté, la musique est un élément central dans sa filmographie (deux Césars pour "Gadjo Dilo", "Vengo"). Celle de "Djam" accompagne le parcours initiatique de l'héroïne, d'Istanbul à Mytilène, délivrant tour à tour volutes d'ivresse, émotion et frénésie jubilatoire.

Les chansons originales de Viktor Tsoï et Zoopark, interprétées et réenregistrées par le Zveri group (dont fait partie l'acteur Roman Zver), habitent le film et témoignent d'une génération pour qui la création et la musique étaient les seuls guides. Roman Zver et German Osipov, producteurs musicaux du film, disaient à ce sujet : "Nous avions besoin de jouer de manière authentique et d'être attentifs au son qu'elles avaient dans les années 80, aux conditions dans lesquelles les musiciens vivaient à l'époque, à leur matériel et à leurs performances". La bande son comprend des reprises de Kino (groupe de Viktor Tsoï) et des classiques de Talking Head, Lou Reed ou Iggy Pop par le Zveri Group mais aussi des morceaux du Velvet Underground ou même de David Bowie.