Tome 3, Philosopher comme un chien
Diogène avait élu le chien comme animal fétiche parce qu'il veille sur ses amis, saisit le mollet de ceux qui n'en ont pas l'habitude, mord aussi ses amis, mais, dit-il, pour les sauver. Le chien, également parce qu'il vit comme lui en pissant le long des églises, en chevauchant en public la femelle convoitée, en déféquant sans souci des convenances aux portes des palais, en aboyant contre les idoles adulées par la plupart.
1 vol. (187 p.) : ill. : 22 cm
9782718607504
Sujets
Philosophie politique
Sociologie politique
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